Le ténor KEVIN AMIEL, le baryton STEPHANE DEGOUT et le chef MAXIME PASCAL viennent de proposer Le Chant de la terre de Mahler dans la…
Stéphane Degout
Festival de Saint-Denis : un superbe Chant de la terre dans la rare version d’Arnold Schönberg
Le Chant de la Terre de Gustav Mahler : une symphonie de chambre expressionniste au Festival de Saint-Denis Ce concert est en quelque sorte une…
La reprise de la production d’Hamlet à l’Opéra-Comique fait briller le théâtre lyrique français de mille feux. Avec cette œuvre d’Ambroise Thomas, le modèle du…
Le Théâtre du Capitole de Toulouse propose une nouvelle production surprenante du Wozzeck de Berg marquée par les prises de rôles saisissantes de Stéphane Degout et Sophie Koch.
Stéphane Degout, en attendant Wozzeck…
Nous avions déjà pris un petit-déjeuner avec Stéphane Degout à Paris, en novembre 2019, pour échanger sur sa carrière et la nouvelle production des Noces de Figaro, mise en scène par James Gray, au Théâtre des Champs-Élysées. Deux ans plus tard, autre ambiance, nouvelle rencontre et toujours un petit-déjeuner mais cette fois-ci à Strasbourg, au lendemain d’un récital avec Simon Lepper au piano, à l’Opéra national du Rhin. Une soirée à la tonalité sombre et nocturne, musicalement exigeante. Un Liederabend à l’ombre de Wozzeck, rôle que Stéphane Degout interprétera pour la première fois en novembre à Toulouse dans une nouvelle mise en scène signée, cette fois-ci, Michel Fau.
À Strasbourg, Stéphane Degout et Simon Lepper à l’ombre de Wozzeck
Les deux artistes n’ont pas choisi la facilité en proposant une série de Lieder et mélodies à l’écriture musicale recherchée sinon complexe et aux thématiques littéraires fluctuant de la mort et au désespoir, le tout saupoudré d’un zeste de mélancolie. A la lecture du programme, on sent déjà que ce Liederabend strasbourgeois ne portera pas l’âme humaine vers ses contrées les plus légères.
Les festivals de l’été : à Aix-en-Provence, un Falstaff jubilatoire signé Barrie Kosky !
Avec une fidélité sans réserve au texte d’Arrigo Boito, Barrie Kosky donne à voir un Falstaff, loin du panciotto vieillissant déjà tant de fois montré sur scène, plus proche d’un épigone de Dionysos qui dialogue ici avec la comédie antique, Rabelais, Boccace et le carnavalesque du cinéma d’un Fellini !
Hippolyte et Aricie à l’Opéra-Comique – L’enfer, c’est chez nous !
Crédit photographies : © Stefan Brion / Opéra Comique Production « miraculée » d’HIPPOLYTE ET ARICIE à l’Opéra Comique Cette nouvelle production, pour laquelle il a enfin…
Reprise de la production de COSI FAN TUTTE par Jonathan Miller à Londres en 2010 https://youtu.be/n989wvM9dgI Sir Jonathan Miller est décédé en novembre dernier, à l’âge…
Les Noces de Figaro au Théâtre des Champs-Élysées : Tempo, tempi… Tant pis!
Photographies © Vincent Pontet « Je suis un réalisateur de cinéma donc je ne sais pas vraiment ce que je fais… ». C’est par ces mots, qu’on…