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Se préparer au War Requiem, Philharmonie de Paris, 12 juin 2026

par Stéphane Lelièvre 10 décembre 2025
par Stéphane Lelièvre 10 décembre 2025
© Andrew Walker (under the terms of the GNU Free Documentation License)
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Benjamin BRITTEN, War Requiem (op. 66) pour soprano, ténor, baryton, chœur, orchestre, orchestre de chambre, chœur de garçons et orgue

Philharmonie de Paris, vendredi 12 juin 2026

LE COMPOSITEUR

Benjamin Britten, London Records 1968 publicity photo

Benjamin Britten (Edward Benjamin Britten), né le 22 novembre 1913 à Lowestoft dans le Suffolk et mort le 4 décembre 1976 à Aldeburgh, est l’un des compositeurs britanniques les plus importants du XXᵉ siècle. Pianiste, chef d’orchestre et pédagogue, il a profondément renouvelé la musique anglaise, en particulier l’opéra, qu’il a replacé au centre de la vie musicale britannique.
Très tôt reconnu comme un enfant prodige, Britten étudie la composition au Royal College of Music à Londres. Bien qu’il y reçoive une formation académique solide, il se sent parfois en décalage avec le conservatisme musical de son époque.

Ses premières œuvres révèlent déjà un style personnel, marqué par une grande clarté formelle, une expressivité directe et une attention particulière portée à la voix.
Pacifiste convaincu, Britten s’exile aux États-Unis au début de la Seconde Guerre mondiale, avant de revenir en Angleterre en 1942. Son pacifisme et son statut d’objecteur de conscience influencent profondément son œuvre, notamment le War Requiem (1962), composé pour la cathédrale de Coventry reconstruite après les bombardements. Cette œuvre, mêlant textes liturgiques et poèmes de Wilfred Owen, est aujourd’hui considérée comme l’un des chefs-d’œuvre du XXᵉ siècle.
Britten connaît un immense succès avec son opéra Peter Grimes (1945), qui marque un tournant dans l’histoire de l’opéra britannique. Suivront de nombreux autres opéras majeurs, tels que Billy Budd (1951), The Turn of the Screw (1954), A Midsummer Night’s Dream (1960) ou Death in Venice (1973), souvent centrés sur des personnages marginalisés, en conflit avec la société.
Il entretient une collaboration artistique et personnelle essentielle avec le ténor Peter Pears, pour qui il compose de nombreuses œuvres vocales. Ensemble, ils fondent en 1948 le Festival d’Aldeburgh, qui devient un lieu majeur de création et de diffusion musicale.
Le catalogue de Britten est très vaste : opéras, musique orchestrale, œuvres chorales, musique de chambre et pièces pédagogiques, notamment The Young Person’s Guide to the Orchestra, destinée à initier les enfants à l’orchestre symphonique.

Anobli en 1976, peu avant sa mort, Benjamin Britten laisse l’image d’un compositeur humaniste, profondément engagé, dont la musique allie exigence artistique, accessibilité et intensité émotionnelle.

POURQUOI UN WAR REQUIEM ?

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la cathédrale Saint-Michel de Coventry fut détruite par des bombardements. Une nouvelle cathédrale fut construite après la guerre, à proximité de l’ancienne cathédrale dont il subsiste toujours la structure extérieure. Avant sa consécration et son inauguration, on passa commande à Benjamin Britten d’une œuvre musicale : c’est à cette occasion qu’il composa le War Requiem.

UN REQUIEM NON LITURGIQUE

Britten, en composant son œuvre, n’avait nullement l’intention de célébrer la victoire de l’armée britannique et de ses alliés. Son but était avant tout de dénoncer les atrocités commises pendant la guerre, de plaider pour la réconciliation et de proposer un vibrant plaidoyer pour la paix. Pour ce faire, il mêle à la structure habituelle du Requiem (Requiem aeternam, Dies Irae, Offertorium, Sanctus, Agnus Dei, Libera me) des textes profanes, écrits par le poète anglais Wilfred Owen. Le musicien plaça en tête de sa partition cette citation du poète :

My subject is War, and the pity of War
The Poetry is in the pity …
All a poet can do today is warn. 

Mon sujet est la guerre, et la douleur de la guerre
La poésie réside dans la douleur…
Tout ce qu’un poète peut faire aujourd’hui, c’est avertir…

Wilfred Owen

Wilfred Owen (18 mars 1893 – 4 novembre 1918) est sans aucun doute l’un des plus grands poètes de la Première Guerre mondiale. Engagé volontaire, il vivra un véritable enfer pendant la Bataille de la Somme, de même qu’un peu plus tard, en 1917 : tombé dans un trou d’obus, il y reste inconscient plusieurs jours, avant d’être découvert et secouru.

Transféré au Craiglockhart War Hospital d’Edimbourg, il y rencontre plusieurs autres poètes anglais, dont Siegfried Sassoon, viscéralement pacifiste : après que ses écrits contre la guerre eurent été rendus publics, Sassoon ne passa pas en cour martiale mais fut envoyé dans cet hôpital en tant que « victime de choc des obus » (!). 

Il eut une influence considérable sur Owen, qui se rapprocha de lui et finit par en tomber amoureux. C’est dans cet hôpital qu’Owen rédigea de nombreux écrits et poèmes pacifiques, où s’expriment son horreur de la violence, sa profonde compassion pour les soldats des deux camps, son appel au pardon et à la réconciliation.

De retour au front, Owen est tué à Ors, dans le Nord de la France, une semaine jour pour jour avant l’armistice. Il avait 25 ans. Il repose toujours dans le cimetière militaire britannique de cette ville.

LES TEXTES DE WILFRED OWEN

Britten trouva de toute évidence, en la personne et dans les œuvres de Wilfred Owen, une sensibilité faisant écho à la sienne. Les textes du poète qu’il utilisa pour son Requiem sont les suivants :

  • What passing bells (Requiem aeternam) ;
  • Bugles sang, Out there, we walked quite friendly up to death, Be slowly lifted up (Dies Irae) ;
  • So Abram rose (Offertorium) ;
  • After the blast of lightning (Sanctus) ;
  • One ever hangs (Agnus Dei) ;
  • Strange Meeting (Libera me).

LA MUSIQUE DE BRITTEN

Trois strates sonores alternent et se répondent dans le War Requiem.

  • La première est le Requiem lui-même, messe  exprimant la peur de la mort et du jugement dernier, et appel à la miséricorde divine. Elle est assumée par le soprano, l’orchestre et le chœur.
  • La seconde est consacrée aux poèmes d’Owen est met en scène deux soldats incarnés par le ténor et le baryton, accompagnés par l’orchestre de chambre. Le dernier poème, Strange Meeting (précédant le Libera me) évoque la pathétique rencontre d’un soldat anglais et d’un soldat allemand, avec notamment cette terrible phrase : « Je suis l’ennemi que tu viens de tuer, mon ami… ».
  • La troisième fait entendre une élévation au-dessus de la guerre et de ses horreurs. Elle est confiée au chœur de garçons et l’orgue.

Si, traditionnellement, un Requiem – au-delà de pages possiblement emplies de terreur – s’achève sur une sérénité retrouvée (ne s’agit-il pas d’implorer Dieu d’accorder le « repos éternel » aux défunts ?), l’œuvre de Britten ne se départit que rarement d’un sentiment d’angoisse et d’un pessimisme profond… La paix elle-même, que semble apporter enfin la prière finale, se teinte in fine de couleurs sombres et angoissantes lorsque se fait entendre un lugubre glas…

LA CREATION

Le War Requiem fut créé le 30 mai 1962 dans la nouvelle cathédrale de Coventry. La distribution comportait le baryton allemand Dietrich Fischer-Dieskau, la soprano irlandaise Heather Harper et le ténor britannique (et compagnon du compositeur) Peter Pears. Galina Vichnevskaïa aurait dû tenir la partie de soprano, mais l’URSS ne l’autorisa pas à se rendre en Angleterre. Elle participa cependant à l’enregistrement de l’œuvre, paru en 1963. Le choix des nationalités des trois chanteurs initialement prévus (russe, anglais, allemand), n’était évidemment pas le fruit du hasard mais incarnait pour le musicien l’esprit de réconciliation qui avait présidé à la composition de l’ouvrage. Le War Requiem fut dirigé, lors de la création,  par Meredith Davies et Benjamin Britten lui-même. L’œuvre reçut un accueil triomphal.

LES ARTISTES DU CONCERT DE PARIS

La cheffe

© Frans Jansen

MIRGA GRAŽINYTĖ-TYLA est une cheffe d’orchestre lituanienne née en 1986 à Vilnius, aujourd’hui reconnue comme l’une des figures majeures de la direction d’orchestre internationale. Issue d’une famille de musiciens, elle se tourne très tôt vers la musique et commence par la direction de chœur avant d’étudier la direction d’orchestre dans plusieurs grandes institutions européennes. 

Sa carrière prend un essor décisif après avoir remporté le Young Conductors Award du Festival de Salzbourg, puis grâce à son travail aux États-Unis et en Europe. En 2016, elle devient la première femme à diriger l’Orchestre symphonique de Birmingham, marquant durablement son histoire par des projets artistiques ambitieux et des enregistrements salués par la critique. Cheffe invitée des plus grands orchestres internationaux, Mirga Gražinytė-Tyla se distingue par son engagement envers des compositeurs encore peu connus, tel, entre autres,  Mieczysław Weinberg.

Fauré, Requiem - Mirga Gražinytė-Tyla, Orchestre Philharmonique et Chœur de Radio France

Les chanteurs

© kseniaparisphoto

ELENA STIKHINA, soprano

La soprano Elena Stikhina s’est imposée au cours des dernières années comme l’une des grandes voix de la scène lyrique internationale. Née en Russie, elle se forme au Conservatoire Rimski-Korsakov de Saint-Pétersbourg, où elle acquiert une solide technique vocale et un profond sens du style, notamment dans le répertoire russe.
Sa carrière connaît un tournant décisif lorsqu’elle devient membre de l’ensemble du Théâtre Mariinsky, sous la direction de Valery Gergiev. Elle y aborde des rôles majeurs qui révèlent l’ampleur de sa voix, la richesse de son timbre et son intensité dramatique.

Rapidement remarquée, elle est invitée sur les plus grandes scènes internationales, parmi lesquelles le Teatro alla Scala de Milan, le Metropolitan Opera de New York, le Royal Opera House de Londres, l’Opéra de Paris, le Festival de Salzbourg ou encore le Bayerische Staatsoper.
Elena Stikhina se distingue particulièrement dans les grands rôles du répertoire romantique et post-romantique. Elle est saluée pour ses interprétations de Verdi et Puccini, mais aussi pour ses incarnations puissantes chez Wagner, notamment dans Der fliegende Holländer ou Tannhäuser. Le répertoire russe occupe également une place centrale dans son parcours, avec des œuvres de Tchaïkovski, Moussorgski ou Prokofiev, qu’elle interprète avec une autorité stylistique et une intensité émotionnelle remarquées.

Il trovatore, "Tacea la notte"
© Edouard Brane

Julien BEHR, ténor

Julien Behr se forme au CNSM de Lyon, dont il sort muni d’un Premier Prix. Nommé en 2009 « Révélation Artiste lyrique de l’année » par l’ADAMI, il fait ses débuts sur scène au Festival d’Aix-en-Provence dans le rôle-titre d’Orphée aux Enfers d’Offenbach. Les engagements vont dès lors se succéder et sa carrière se développer rapidement, avec une prédilection pour le répertoire classique (Mozart notamment, avec Tamino, Ottavio ou Ferrando), le répertoire français (Pylade, Laërte, Pelléas) et le bel canto (Edgardo, Ernesto). En 2018, julien Beh a sorti son premier album, Confidence, avec l’Orchestre de l’Opéra national de Lyon dirigé par Pierre Bleuse.

 Il s’est produit, entre autres scènes, à l’Opéra national de Paris, au Théâtre des Champs-Elysées, à l’Opéra Comique, à l’Opéra national de Lyon, à l’Opéra national de Bordeaux, à l’Opéra du Rhin, au Theater an der Wien, à l’Opéra Royal de Wallonie-Liège, au Teatro Regio di Torino, à la Fenice de Venise, au encore au Grand Théâtre de Genève.

Gluck, Iphigénie en Tauride "Unis dès la plus tendre enfance" - Julien Behr, Opéra de Paris
© D.R.

Florian BOESCH, baryton-basse

Florian Boesch, baryton-basse autrichien, est né à Sarleinsbach. Issu d’une famille de musiciens, il étudie le chant à l’Université de musique et des arts du spectacle de Vienne, notamment auprès de Robert Holl. 

Il s’impose rapidement comme l’un des grands interprètes du lied allemand, reconnu pour la profondeur de son expressivité et l’intelligence de ses interprétations, en particulier dans les œuvres de Schubert, Schumann et Mahler. Il interprète également fréquemment des œuvres sacrées : les passions de Bach, Elias  de Mendelssohn,…
Parallèlement, il mène une carrière lyrique internationale, se produisant sur les plus grandes scènes d’opéra avec des orchestres renommés. Parmi les œuvres scéniques qu’il a déjà interprétées :  Radamisto,  Der Rosenkavalier,  Le nozze di Figaro,  Così fan tutte, Die Zauberflöte ou Wozzeck.

Schubert, "Du bist die Ruh"

NOTRE SÉLECTION POUR ÉCOUTER L'ŒUVRE

CD

Britten / Vishnevskaya, Pears, Fischer-Dieskau. London Symphony Orchestra. The Bach Choir  et The London Symphony Orchestra Chorus. 2CD Decca (1963)

Rattle / Söderström, Tear, Allen. CBSO Chorus. City of Birmingham Symphony Orchestra. 2CD EMI (1983)

Gardiner / Orgonasova, Rolfe Johnson, Skovhus. NDR Sinfonieorchester. The Monteverdi Choir. 2CD Deutsche Grammophon (1993)

Masur / Vaness, Hadley, Hampson. New York Philharmonic, Westminster Symphonic Choir. 2CD Teldec (1998)

Rilling / Dasch, Taylor, Gerhaher. Festivalensemble Stuttgart. 2CD Hänssler Classic (2008)

Ozawa / Görke, Westman, Dean Griffey. Saito Kinen Orchestra. 2CD Decca (2009)

Pappano / Netrebko, Bostridge, Hampson. Orchestre et Chœur de l’Accademia Nazionale Di Santa Cecilia. 2CD Warner Classics (2013)

Jansson / Maggie, Promore, Gerhaher. Chor und Symphonieorchester des Bayerischen Runfunks. 2CD BR Klassik (2013)

DVD et Blu-ray

Film de Derek Jarman (1989) avec Laurence Oliver et Nathaniel Parker, sur la bande-son de l’enregistrement réalisé par britten en 1963

Nelsons / Wall, Padmore, Müller-Brachmann. City of Birmingham Symphony Orchestra, CBSO Chorus. 1 Bluray Unitel (2012)

Streaming

BBC Symphony and Chorus, dir. Benjamin Britten (Heather Harper, Thomas Hemsley, Peter Pears (4 août 1964)
SHMF | NDR Elbphilharmonie Orchester, dir. J.E. Gardiner (Luba Orgonasova, Anthony Rolfe Johnson, Boje Skovhus)- 1992
Orchestre et Choeur de l'Accademia di santa Cecilia, dir. A. Pappano (Anna Netrebko, Ian Bostridge,Thomas Hampson) - Salzbourg, 2013
Royal Academy of Music Symphony Orchestra and Chamber Orchestra, dir. Marin Alsop (Natalia Tanasii, Ben Johnson, Johannes Kammler) - 9 novembre 2014
London Symphony Orchestra, dir. Antonio Pappano (Natalya Romaniw, Allan Clayton, Will Liverman). 2024
SWR Symphonieorchester, dir.Teodor Currentzis (Irina Lungu, Allan Clayton, Matthias Goerne). 7 juin 2024 (Stuttgart)
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Benjamin Britten
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Stéphane Lelièvre

Stéphane Lelièvre est maître de conférences en littérature comparée, responsable de l’équipe « Littérature et Musique » du Centre de Recherche en Littérature Comparée de la Faculté des Lettres de Sorbonne-Université. Il a publié plusieurs ouvrages et articles dans des revues comparatistes ou musicologiques et collabore fréquemment avec divers opéras pour la rédaction de programmes de salle (Opéra national de Paris, Opéra-Comique, Opéra national du Rhin,...) Il est co-fondateur et rédacteur en chef de Première Loge.

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