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MATHILDE ORTSCHEIDT

par Stéphane Lelièvre 13 décembre 2024
par Stéphane Lelièvre 13 décembre 2024
© D.R.
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Mathilde ORTSCHEIDT, mezzo-soprano

Mathilde Ortscheidt commence à chanter dès l’âge de 16 ans, parallèlement à des études de théâtre à l’ESCA (École Supérieure de Comédiens par l’Alternance). Après l’obtention de son diplôme de théâtre en 2014, elle décide de se consacrer pleinement à la musique.

Elle obtient alors un DEM (Diplôme d’Études Musicales) au Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris avec les félicitations du jury.

Elle s’est produite avec des ensembles prestigieux, notamment de musique baroque (Les Arts Florissants, Les Talens Lyriques, Le Poème Harmonique, Il Caravaggio), mais Mathilde Ortscheidt explore également les répertoires classique (Dorabella dans Così fan tutte), romantique (Flora Bervoix dans La Traviata) ou du XXe siècle (La Mère dans Der Jasager de Weill). Elle s’aventure également avec succès dans le domaine de la musique contemporaine : elle a ainsi créé le rôle de La Mère dans Celui qui dit non de Martin Matalon, et a chanté deux mélodies du pianiste Jean-Baptiste Doulcet (cycle Glissements Progressifs du Désir).

Mozart, "Parto, parto, ma tu ben mio" - La clemenza di Tito (juin 2025)
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Stéphane Lelièvre

Stéphane Lelièvre est maître de conférences en littérature comparée, responsable de l’équipe « Littérature et Musique » du Centre de Recherche en Littérature Comparée de la Faculté des Lettres de Sorbonne-Université. Il a publié plusieurs ouvrages et articles dans des revues comparatistes ou musicologiques et collabore fréquemment avec divers opéras pour la rédaction de programmes de salle (Opéra national de Paris, Opéra-Comique, Opéra national du Rhin,...) Il est co-fondateur et rédacteur en chef de Première Loge.

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