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Se préparer à La Passagère, Opéra national Capitole de Toulouse, 23-29 janvier 2026

par Stéphane Lelièvre 14 décembre 2025
par Stéphane Lelièvre 14 décembre 2025
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Opéra national Capitole de Toulouse, 23-29 janvier 2026

Opéra en 2 actes de Mieczysław Weinberg, livret d’Alexandre Medvedev d’après La Passagère de la cabine 45 de Zofia Posmys, créé en version de concert au Théâtre de musique de Moscou Stanislavski et Nemirovich-Danchenko le 25 décembre 2006.

L'ŒUVRE

Le compositeur

Mieczysław Weinberg (1919-1996)

Mieczysław Weinberg naît le 8 décembre 1919 à Varsovie. Il y commence des études de piano, mais est contraint de quitter son pays après l’invasion de la Pologne par l’armée allemande en 1939. Alors que sa famille est arrêtée et assassinée, Weinberg se réfugie en URSS. Il suit des études de composition à Minsk, en Biélorussie. Il rencontre par la suite Dmitri Chostakovitch qui l’apprécie et devient son ami. Chostakovitch sera même à l’origine d’une pétition demandant la libération de Weinberg, emprisonné dans les années 50 pour des motifs antisémites.

Sa musique est appréciée et est progressivement jouée par les plus grands interprètes russes du moment, mais peine à être reconnue sur le plan international. Il compose dans tous les genres musicaux : musique de film (Quand passent les cigognes), opéras (La Passagère, L’Idiot), musique de chambre (Trio pour violon, violoncelle et piano opus 24), symphonies (une vingtaine !), mélodies,…

Tombé malade, il meurt à Moscou le 26 février 1996 .

Le librettiste

Alexander Medvedev (1927-2010)

Alexandre Medvedev naît à Moscou en 1927. Il suit des études d’histoire de la musique et de solfège  et obtient, en 1961, un doctorat à l’Institut de musique et de cinématographie. Devenu un musicologue réputé, il devient chef du département de littérature musicale au Théâtre du Bolchoï et écrit de nombreux articles sur la culture musicale soviétique, ainsi que plusieurs livrets d’opéras, notamment pour  Mieczysław Weinberg : La passagère, La Madone et le soldat, L’Idiot.
Alexander Medvedev meurt à Moscou le 26 juillet 2010.

L'ŒUVRE

La création et la fortune de l'œuvre

Une scène de la création scénique de l'œuvre au Festival de Bregenz (2010 ; mise en scène D. Pountney. Copie d'écran Youtube)

Weinberg termine la composition de son œuvre en 1968, mais l’opéra n’est pas apprécié par le régime soviétique, qui refuse sa création. Il faudra attendre le 25 décembre 2006 pour le public découvre la partition au cours d’une version de concert donnée au Théâtre de musique de Moscou Stanislavski et Nemirovich-Danchenko. Quatre ans plus tard, le festival de Bregenz propose la création scénique de La passagère (direction musicale Teodor Currentzis, mise en scène David Pountney). Dès lors, l’œuvre est régulièrement reprise avec succès : au Grand Théâtre de Varsovie, à Francfort, Chicago, Houston, Detroit, Graz, Innsbruck, Toulouse…
Preuve du succès de cette oeuvre tardivement redécouverte : plusieurs versions audio et vidéo en sont d’ores et déjà disponibles (voyez ci-dessous). 

Le livret

La source

Ancienne prisonnière des camps d’Auschwitz et  Ravensbrück, Zofia Posmysz devient journaliste et écrivaine. En 1962, son récit La Passagère de la Cabine 45 fait l’objet d’adaptations radiophonique et cinématographique. C’est Dimitri Chostakovitch qui fait connaître ce récit au musicologue et librettiste Alexander Medvedev, lequel le transmet à son tour à Mieczyslaw Weinberg.

Le texte

Il est à noter que chaque personnage, dans le livret, s’exprime dans sa propre langue. Ce multilinguisme (on entend aussi bien de l’hébreu que de l’allemand, du polonais, du russe) contribue ainsi à un étonnant « effet de réel ».

La structure

Deux strates temporelles et spatiales coexistent sur scène : une temporalité passée (la guerre) correspondant à l’horreur des camps, une temporalité « présente » (les années 60) correspondant à l’atmosphère luxueuse du paquebot. Le déroulé de l’opéra permet de passer de l’une à l’autre strate avec fluidité. 

L’intrigue

PREMIER ACTE
Sur le paquebot
En 1960, un couple d’Allemands, Lisa et son mari le diplomate Walter, traversent l’Atlantique pour gagner le Brésil. Le voyage prend cependant un tournant inattendu lorsque Lisa croit reconnaitre en une passagère, une certaine Marta, une femme polonaise qu’elle a jadis connue dans des circonstances particulièrement terribles : Lisa est en effet une ancienne SS, gardienne dans le camp de concentration d’Auschwitz. Marta serait, pense-t-elle, l’une des femmes qu’elle était alors chargée de surveiller… une prisonnière qui avait suscité son irritation en raison de l’extrême dignité dont elle ne se départait jamais.
Lorsque Walter apprend le passé nazi de son épouse, une dispute éclate : la carrière du diplomate ne risque-t-elle pas d’être alors compromise ? Un steward, cependant, les rassure en leur apprenant que la passagère ne serait pas polonaise, mais britannique. Mais Lisa est peu à peu envahie par une vague de souvenirs liés à la guerre et au rôle qu’elle joua dans le camp d’Auschwitz…

SECOND ACTE
Auschwitz
Un concert se prépare, au cours duquel Tadeusz, un prisonnier, devra jouer au commandant sa valse préférée. Or il se trouve que Tadeusz est fiancé à Marta, qu’il retrouve avec émotion dans l’entrepôt des biens confisqués. La gardienne Lisa propose au couple de se retrouver régulièrement en secret, espérant ainsi assurer sa domination psychologique sur les deux amoureux. Tadeusz refuse : il préfère renoncer à voir Marta plutôt que de lui faire courir le moindre danger.

Le paquebot / Auschwitz
Le steward annonce s’être trompé à Lisa et Walter : la mystérieuse passagère est bien polonaise et non britannique… 
Une soirée dansante est organisée sur le paquebot, à laquelle participent Lisa et Walter. La mystérieuse passagère demande que soit jouée une valse : il s’agit précisément de la valse préférée du commandant du camp d’Auschwitz…
A Auschwitz, le concert évoqué au premier acte a enfin lieu. Tadeusz refuse d’obéir au commandant du camp et, en lieu et place de la valse demandée, joue la Chaconne  en ré mineur de Jean-Sébastien Bach. Cette désobéissance vaut à Tadeusz d’être condamné à mort.

La berge d’un fleuve
Les derniers mots de l’opéra reviennent à Marta, qui se livre à un monologue évoquant le devoir de mémoire et s’achevant sur ces mots : « Si un jour vos voix se taisent, alors nous sombrerons tous ».

La partition

La dualité (spatiale et temporelle) observée dans le livret (voyez ci-dessus la partie consacrée au livret) s’observe également dans la partition, qui fait coexister certaines musiques légères (celles qu’on entend sur le paquebot, la valse du commandant) avec d’autres aux tonalités plus graves (la Chaconne de Bach), voire tragiques (celles entendues dans les scènes se déroulant dans les camps). La musique, savante sans jamais être hermétique (on cite souvent à propos des œuvres de Weinberg les noms de Chostakovitch ou de Bartók), intègre dans sa trame plusieurs citations (Schubert, Berg, Britten), et joue beaucoup sur certains effets de contrastes : dramatisme intense des dialogues entre les différents personnages / interventions « détachées » du chœur, contemplant et commentant l’action ; interventions froides de Lisa, lyrisme du chant de Marta ; orchestration riche et foisonnante contrastant avec la délicatesse de certaines scènes intimistes ; violence des scènes prenant place dans le camp de la mort / lyrisme passionné de la scène des retrouvailles entre Marta et Tadeusz ; … L’œuvre revêt ainsi une efficacité dramatique remarquable, d’autant que la musique, en dépit de son caractère savant, reste constamment touchante et accessible.

LES REPRÉSENTATIONS DU CAPITOLE DE TOULOUSE

Le chef

© Giancarlo Pradelli

Francesco ANGELICO

D’origine sicilienne (il est né à Caltagirone), Francesco Angelico étudie le violoncelle puis la direction d’orchestre au Conservatorio della Svizzera Italiana de Lugano. Très actif dans le domaine de la musique contemporaine, Francesco Angelico n’en aborde pas moins un répertoire très vaste, comprenant aussi bien des œuvres de la seconde moitié du XIXe siècle  (Adriana Lecouvreur, Mefistofele, la Tétralogie de Wagner) que d’autres ressortissant au bel canto (L’elisir d’amore), au romantisme italien (Rigoletto, La forza del destino) ou russe (La Dame de Pique). Il s’est notamment produit à Innsbruck, Cassel, Munich, Graz, Göteborg, Riga, Toulouse,…

Répétition de La forza del destino (2023)

Le metteur en scène

Photo : Pfalztheater Kaiserslautern - Association du district du Palatinat

Johannes REITMEIER

Johannes Reitmeier est un auteur, metteur en scène et directeur artistique allemand . Il étudie à Munich l’art dramatique, l’histoire de l’art et la littérature bavaroise. Il propose plusieurs mises en scène aux Théâtre municipal de Landshut-Passau-Straubing, Théâtre d’État de Cobourg , au Festival de la jeunesse de Bayreuth et aux festivals d’opéra de Heidenheim an der Brenz et de Zwingenberg . En tant qu’auteur, il a signé plusieurs œuvres dramatiques (Tirschenreuther Mundart-Passion, 1997, sa pièce Jedermann, 2014), écrite en dialecte du Haut-Palatinat, a été créée pour la première fois à Tirschenreuth. En tant que directeur artistique, il a dirigé  le Théâtre municipal de Bavière du Sud-Est, le Pfalztheater de Kaiserslautern et le Tiroler Landestheater Innsbruck.

Elektra au Tiroler Landestheater (2023)

Les chanteurs

Sieglinde à Bruxelles - Capture d'écran Youtube

Nadja STEFANOFF, soprano (Marta)

Nadja Stefanoff a étudié le chant à la Musikhochschule de Dresde. Elle commence sa carrière en tant que mezzo, avant de s’orienter en 2013 vers des emplois de soprano. Elle est alors invitée par plusieurs scènes prestigieuses d’Allemagne : Deutsche Oper am Rhein, Staatsoper de Stuttgart, Komische Oper de Berlin, Opéra de Bonn. 

Au Staatstheater Mainz, elle interprète les rôles-titres de Médée de Cherubini, Norma de Bellini, Manon Lescaut et Tosca de Puccini, ainsi que Madame Lidoine des Dialogues des Carmélites de Poulenc. Egalement à son répertoire : Fedora de Giordano, ou encore le rôle-titre de La Passagère de Weinberg à l’Opéra de Graz (spectacle ayant fait l’objet d’une captation audio et vidéo).

Bruxelles, Die Walküre (2024)
© Ruth Kappus

Anaïk MOREL, mezzo-soprano (Lisa)

Anaïk Morel étudie le chant au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Lyon avec Françoise Pollet. Elle devient par la suite membre de la troupe de l’Opéra de Munich, ce qui lui permet de se familiariser avec la scène dans des seconds rôles non négligeables musicalement, tels ceux de Mercédès (Carmen), Fenena (Nabucco), Meg Page (Falstaff) ou Sœur Mathilde (Dialogues des carmélites), Silla (Palestrina). Par la suite, sa carrière prend un bel essor international : Staatsoper Berlin (Luisa Miller), Stuttgart (La Damnation de Faust), Festival de Salzbourg (Charlotte Salomon de Marc-André Dalbavie), Royal Opera House de Londres (Carmen), Bâle, (La Force du destin) à Bâle, Munich (Nabucco),…

En France, elle chante à l’Opéra national de Lorraine (Lazuli dans L’Étoile, Boulotte dans Barbe-Bleue), à Lyon (Mère Marie des Dialogues des carmélites), à l’Opéra de Paris (Siébel de Faust), au Festival d’Aix-en-Provence Dido (Didon et Enée), à Toulouse le Compositeur (Ariane à Naxos) et Brangäne (Tristan und Isolde), à Nice Charlotte (Werther).

Bizet, Carmen ("Près des remparts de Séville...") - Concours de la Reine Elisabeth, 2011
© Scott McDermott

Airam HERNÁNDEZ, ténor (Walter)

D’origine espagnole (il est né à Tenerife) , Airam Hernández  obtient un diplôme de chant avec mention au Conservatoire supérieur de musique du Liceu de Barcelone puis un Master en Musique contemporaine/classique et en Musique de chambre. 

Son répertoire est particulièrement vaste :  Faust dans Faust de Gounod, Ulysse dans Pénélope de Fauré, Tamino dans La Flûte enchantée de Mozart, Don Ottavio dans Don Giovanni de Mozart, Pollione dans Norma de Bellini, Edgardo dans Lucia di Lammermoor de Donizetti, Alfredo dans La traviata de Verdi, Fenton dans Falstaff de Verdi, Cassio dans Otello de Verdi, …
Outre l’opéra, Airam Hernández  participe également fréquemment à des concerts de mélodies ou lieder, musique symphonique ou sacrée (Dixit Dominus de Häendel ; le Magnificat et la Passion selon Saint Matthieu de Bach ; le Requiem et la Messe du couronnement de Mozart ; la Symphonie n° 9 de Beethoven ; le Te Deum de Berlioz ; la Messe Solennelle de Sainte Cécile de Gounod) ; la Messa di Gloria de Mascagni ; la Messa di Gloria de Puccini) ; …
Il s’est produit sur de nombreux scènes prestigieuses : Teatro Real de Madrid, Capitole de Toulouse, Opéra national de Lorraine, Opéra de Dallas, Grand Théâtre du Liceu, le Théâtre royal de Madrid, Opernhaus de Zurich, Opéra de Lausanne, l’Opéra national néerlandais d’Amsterdam, La Fenice de Venise, le Teatro Regio de Parme,…

Schubert, " Du bist die Ruh' "

NOTRE SÉLECTION POUR VOIR ET ÉCOUTER L'ŒUVRE

CD

Kluttig, Loschky / Stefanoff, Kaiser. Chor der Oper Graz, Grazer Philharmoniker. 2 CD Cappriccio, 2021.

Gražinytė-Tyla / Orendt, Majeski. Orquesta Del Teatro Real De Madrid. Coro Del Teatro Real De Madrid. 2CD DG, 2025.

Streaming

Currentzis, Pountney / Kelessidi, Breedt. Wiener Symphoniker, Prague Philharmonic Choir, Festival de Bregenz 2010.

DVD et Blu-rays

Currentzis, Pountney / Kelessidi, Breedt. Wiener Symphoniker, Prague Philharmonic Choir, Festival de Bregenz. 1 DVD Arthaus, 2015.

Kluttig, Loschky / Stefanoff, Kaiser. Chor de Oper Graz, Grazer Philharmoniker. 1 Blu-ray Naxos, 2022.

Von Dohnányi, Strassberger / Karlova,  Babintseva. Opéra académique d’Etat d’Iekaterinbourg. Enregistré à Iekaterinbourg le 15 septembre 2016. 1 DVD DUX.

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Stéphane Lelièvre

Stéphane Lelièvre est maître de conférences en littérature comparée, responsable de l’équipe « Littérature et Musique » du Centre de Recherche en Littérature Comparée de la Faculté des Lettres de Sorbonne-Université. Il a publié plusieurs ouvrages et articles dans des revues comparatistes ou musicologiques et collabore fréquemment avec divers opéras pour la rédaction de programmes de salle (Opéra national de Paris, Opéra-Comique, Opéra national du Rhin,...) Il est co-fondateur et rédacteur en chef de Première Loge.

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